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Asaf

Asaf

Asaf Pratique la danse contact depuis plus que 20 ans, il a étudié à Tel Aviv, New York, Paris et Boston. Parmi ses professeurs les plus influents sont Steve Paxton, Kirsty Simson, Lisa Nelson, Andrew Harwood et Dieter Heitkamp. Depuis 2000, il a enseigné en Europe (Paris, Amsterdam, Fribourg Festival, Ibiza Festival, Kiev Festival…), les États-Unis (Boston, Earthdance, et IC 36) et à Buenos Aires. Asaf est l’un des fondateurs du Collectif Contact à Paris et l’association explorations sphériques. Il vit actuellement dans cette ville, où il fait ses investigations en neurosciences cognitives du langage, de la danse et de l’improvisation (labodanse.org). Il est un rolfer® ceritifié, formé par Hubert Godard. 

Nati

Nati

Natividad (ARG/FR)

Baigne dans le monde du spectacle vivant depuis son plus jeune âge, passant par les différentes techniques de danse : classique, contemporaine, jazz, ainsi que les danses folkloriques, le théâtre et la musique. Elle est diplômée d’État en tant que professeur de danse contemporaine depuis 2018.

Elle enseigne dans divers établissements pour un public scolaire, amateur et en formation professionnelle. Danseuse et interprète pour différents projets, elle fait actuellement partie du collectif “Larret en Mouvements” en Dordogne, France. Elle collabore au développement du projet dans la conception et la médiation culturelle, ainsi que dans l’élaboration d’un programme de cours réguliers pour le public local.

Depuis son arrivée en Dordogne, Natividad explore de nouvelles voies de recherche dans le Contact Improvisation et les techniques somatiques. Ces matières nourrissent sa réflexion sur la relation entre les danseurs et les danseuses à travers le mouvement dansé. Parallèlement, elle se forme à la Notation du Mouvement Benesh au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris.

Depuis septembre 2023, elle se lance dans un champ de recherche avec un Master en Improvisation en danse à l’Université de Côte d’Azur. Actuellement, elle développe différents projets de création en tant que chorégraphe pour diverses compagnies.

Arnaud

Arnaud

Arnaud Arvengas, Morvandiau-parisien.

Papillon qui aime butiner d’une discipline à une autre, j’ai fait de la physique et des chantiers, pendant mon enfance, pendant mes études, j’ai finalement opté pour les chantiers, en tant qu’ouvrier et ne le regrette pas. J’ai appris sur le tas essentiellement, au contact de plein de gens qui m’ont transmis techniques et savoir faire, au contact de la matière qui ne te dit pas toujours comment faire, mais à force de patience, on finit par trouver. J’ai monté ma petite boîte et ai bien travaillé pendant 6 ans à Paris et en France en rénovation et un peu construction dans des domaines très variés (plomberie, électricité, menuiserie, charpente, couverture, maçonnerie, isolation, aéraulique, drainage, serrurerie)

Pendant ce temps, après avoir pratiqué pas mal de sports (cyclisme sur route, escalade, voile..) plus ou moins intensivement, j’ai rencontré la danse contemporaine à laquelle je me suis beaucoup consacré.  Je danse aussi un peu le tango.

La danse a beaucoup changé mon rapport à ma façon de bouger y compris sur chantier, non je ne fais pas de traversées en grands jetés pour aller d’un point à un autre,  ni de ports de bras pour porter des parpaings, c’est plus minime, mais quand même.

À Larret depuis Juin 2020, je danse beaucoup moins, construit et entretiens beaucoup plus, mais ne désespère pas que ça change.

Sinon j’aime bien voyager, mais lentement (a pied, en stop, à vélo, en voiler) et pas forcément loin, l’essentiel étant les rencontres avec les autres, et avec soi même.

Lily

Lily

J’envisage l’identité comme une étude sur la multiplicité.
Je suis danseur·euse, anthropologue, cuisinier·e, skipper, apprenti·e maçon·ne, activiste et poète. Je calibre mon travail artistique pour appréhender les chutes et les failles éco-sociales de la planète que nous habitons en commun. Mon approche intègre une confluence de chair, de poésie et de politique.

Je vis à Larret, dans un lieu de vie collective et de recherche en danse, somatiques et relation à la terre-matière (cultiver, cuisiner, bâtir). L·E·M est également un centre de pédagogies alternatives.
J'ai récemment cofondé la compagnie Reversed Dances.

Les ressources, les méthodes et les techniques qui m'accompagnent et façonnent mes pratiques sont diverses. Elles incluent le Butoh, les somatiques (BMC, Technique Alexander, mouvement authentique) et les livres ainsi que les esprits qui les écrivent.

Maxime

Maxime

Maxime, né en 1993, possède une racine de patience, d’observation et une pointe de divagation qui offrent un soutien pluriel. Grandir entre le béton et la mer m’a donné une allergie au pollen. Danser en soirée comme échappatoire, puis danser le contact-impro comme retrouvailles. Je prends moins de risques qu’avant. Je suis devenu professeur des écoles puis j’ai arrêté. Je suis venu à Larret pour apprendre la rénovation des bâtiments, mais j’apprends bien plus. J’aime marcher, j’aime courir, j’aime les bandes-dessinées et j’essaye de moins aimer les gâteaux.

Maxim - snowy
Maxim - snowy

Thomas

Thomas

Néo-rural, ex-parisien ayant atterri à Larret il y a quatre ans.

Je me suis tout de suite senti bien dehors, dans le jardin, avec beaucoup d’énergie pour travailler de mes mains et de mon corps. D’être en contact avec les éléments, ce contact physique quotidien comme remède à l’hésitation perpétuelle, la tergiversation, le doute. Le manque d’enracinement.

Mais maintenant pas de doute je suis bien planté :) Faire pousser des légumes pour une communauté dansante, j’ai touché terre. J’ai trouvé du sens, et une bande de créatures qui cherchent, chacune à leur façon, à mettre en cohérence une manière d’être à soi, aux autres et au monde. Vaste programme, mais nous faisons le pari que le corps, qui est déjà l’autre, le dehors, va nous aider dans cette recherche.

Taï-chi, contact-impro et tango comme outils d’exploration, mais aussi comme pratiques sans but. La vie en communauté comme sport de combat : exploration de la peur, de l’incapacité à dire non, de la soumission à des situations qui ne nous conviennent pas, du sentiment d’infériorité, mais aussi comme possibilité d’argumenter, d’être entendu, de se remettre en question, de prendre conscience/confiance ensemble.

Layla et Tita

Layla et Tita

Layla est arrivée à Larret en octobre 2022 de Nontron à l'age de 3 mois. Tita est née ici en octobre 2022, fille de Layla et Leny, fruit d'une passion et d'une tragédie.

collaboratrices

voisin•e•s

Yair Cloé et Camille

Noam, Shosha et Pierre

Nous sommes Shosha & Pierre, arrivées en 2020, en même temps que le collectif de Larret depuis les mondes de la danse, des arts et de la rénovation, pour mener une vie paysanne entourer d’arbre et de rivière.
Notre projet est avant tous écologique et prend la forme de jardins légumiers agroforestiers, pour nourrir localement les habitantEs.
Nous accueillons aussi des wwoofeureuse, stagiairEs, nous nous voulons un espace en soutiens des personnes en transition écologique.
L’arrivé conjointe avec Larret en mouvement nous a permis de garder ce qui était le plus précieux à nos vie en ville : la danse. Notre passion et recherche nous ont permis de coopérer avec Larret dans leur développement vivrier notamment avec des culture commune de légume et aussi dans la co-animation d’atelier de danse.
Nous résumons notre relation a Larret en mouvement comment une symbiose ecosomatique.

Emma, Léo love & Mabeuko

Emma, Léo love, Mabeuko. Un petit bout de la constellation des voisaines. On vit collé·es aux studios Larret, dans une maison qui était – avant qu’on arrive – un abri à cochons et qui maintenant abrite surtout des queers, des Fols, des torduEs, une chatte, un·e poule transgenre et des petites chouettes sous son toit. Dans le salon, on a une grosse bibliothèque de philosophie et d’études transpédégouines, où on accueille notamment un cercle de lectures écoféministes (adressé au voisinage proche et lointain), mais aussi des résidences de traduction des collectives dansmalangue et t4t – translators for transfeminism, et des amix de passage. On écrit, on traduit, on fait des films, on dessine, on aime le silence et aller à la rivière. Et dès qu’on peut, on roule par terre.
Plus d'informations sur les lectures écoféministes : http://oooo.wrongcontact.zone/oooo/

Les voisin.e.s ephemeres

Cata

Ezra

Nirvan

Ziva